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sol'o pluriel - création 2006 -

Distribution

 

Chorégraphie & danse : Mitia Fedotenko

Musique & partition sonore : Jonathan Fenez

Mise en son : Céline Seignez

Scénographie : Annie Tolleter et Mitia Fedotenko

Création lumière & régie générale : Fabrice Anton Administration & diffusion : Nathalie Brun

Crédit photos : Paul Delgado

Durée :  1 h

 

Production : la Compagnie Autre MiNa

Soutiens : DRAC Languedoc Roussillon dans le cadre de l’aide au projet, du Département de l’Hérault pour une aide à la création et à la diffusion, et de la Ville de Montpellier

Résidences de création : le Pacifique CDC de Grenoble/la Compagnie Christiane Blaise dans le cadre de Traversées en Compagnie, Théâtre Chai du Terral à St Jean de Védas en partenariat avec Montpellier Danse 2007

Remerciements : CCN de Montpellier Languedoc Roussillon, Frédérique Tay, Natacha Kouznetsova, Cyril Laucournet, Paul Delgado

« En faisant un retour sur moi-même, j’éprouve la sensation de ne pas avoir pu mettre en scène certaines choses importantes, d’avoir laissé en suspend trop de non-dits< Des sujets restés entre parenthèses jusqu’à aujourd’hui< comme une excuse pour ne pas affronter des chemins délicats, inconfortables< Habité d’une motivation irréductible, je sens qu’il est temps, maintenant, d’affronter ces dernières résistances. Comme au tout commencement, je suis à nouveau seul, face à moi et je Me dois< je Vous dois cette ultime franchise, cette mise à nu volontaire. En quête d’un espace scénique permettant de révéler ces fêlures initiales, j’opte pour des solutions tubulaires< De rectitude en instabilité, de distorsions sonores en troubles visuels, je tente d’entamer avec le spectateur, un dialogue autour de l’identité… Dans mon cas, l’identité commence par un questionnement autour de l’étranger, du citoyen et du non-citoyen, des frontières, des règles du système, de la place, de la foi, jusqu’à l’âme même. Pour éviter de tirer avantage de mon statut d’étranger et de prendre la position du rebelle, de l’accusateur (ce serait trop facile), je me laisse pénétrer par d'autres états du corps, parfois absurdes, enfantins ou maladroits. De toute façon, comme il n'est pas question de retenir ce qui demande à être libéré, il ne reste plus rien à craindre Et même si cette expérience peut écorner l’image que les autres se font de moi, tant pis ce n’est après tout qu’une image! »

Mitia Fedotenko 

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